La Presse, Dimanche 16 juillet. Le Brésil est tout-puissant. Un dernier gala pour le duo Rousseau-Dubosc. Ottawa n'a pas de plan d'évacuation.
Et sur la photo frontiscipe, un peu plus bas. Une auto calcinée. Un bambin, mort, sans souliers, probablement soufflés par la déflagration.
Call me a bleeding heart, mais cette photo n'a pas sa place à la Une du plus grand quotidien français d'Amérique, même si elle exprime en un seul cliché toutes les horreurs de la guerre. Je suis content que mes enfants n'aient pas vu le journal ce matin. J'aurais eu peine à leur expliquer pourquoi quelqu'un de leur âge gît sur le côté de la route. Pourquoi cela est en première page. Rien ne justifie la mort mais rien ne justifie qu'on la montre non plus. Cachons-la donc. Il restera toujours Foxnews et TQS pour s' "informer".
2006/07/16
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