2006/11/06

Après un mois d'inactivité

il faudrait bien que je redémarre.

Alors voici ce qui m'a allumé hier. Réjean Tremblay aux Franc-Tireurs qui a presque avoué qu'il était une grosse péripatéticienne avide de pouvoir. Que les vestiaires de hockey n'étaient plus les vestiaires d'antan et qu'il ne valait mieux pas, en tant que journaliste sportif, y mettre les pieds. Drôle de raisonnement.

Sauf qu'il avoue aussi candidement qu'il faut deux taupes dans un vestiaire pour savoir ce qui se passe et qu'il faut parfois s'autocensurer pour protéger nos sources. De moi: jusqu'à ce que celles-ci soient échangées à Philadelphie ou Chicago. À ce moment, alors que nous n'avons plus à croiser Deep Throat chez Parée (il n'y a pas d'autres Deep Throat chez Parée, c'est un bar ''propre''), on sort la merde: semble-t-il que ce grand marqueur trompait sa femme (en termes plus subtils), que ce défenseur couchait non seulement à gauche et à droite (il était ambidextre) mais surtout dans le lit de la femme de son grand patron ou bien cet autre défenseur a couché avec la femme de cet autre gardien et que les deux hommes ont réglé leurs différents dans l'avion à Philadelphie. Ou bien cet assistant-entraîneur est tellement con que tous les joueurs se paie sa tête dans son dos lorsqu'il se trompe de nom en parlant de Craig Wolalin.

C'est facile de passer pour un génie quand on s'autocensure pendant six mois. Un génie ou une pute. Dieu merci que le barbu millionnaire soit aux sports et non en politique.

Je me relis et je me trouve poche. Je manque de pratique je pense. À demain.

1 commentaire:

Anonyme a dit...

j'avoue que c'est un peu confus mais on va le prendre, depuis le temps... Je t'ai à l'oeil. he he he.

Ciao zio
Frank